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Les sessions de 2023 pour la formation continue des infirmières libérales

vendredi 20 janvier 2023 par Brigitte Femenia

Catégorie : article sponsorisé

Les années 2020 et 2021 ont été les plus marquantes de cette décennie sur le plan sanitaire. En effet, le coronavirus n’a pas manqué de rappeler au monde l’importance d’un système sanitaire en perpétuel développement. À cet effet, plusieurs mesures ont été prises par les gouvernements, dont la création de nouvelles formations, et le renforcement des anciennes. La formation continue des infirmières libérales, le DPC figure parmi ces dernières. Cet article vous présente ce qu’est une formation DPC aujourd’hui.

La formation continue des infirmières libérales ou DPC, qu’est-ce que c’est ?

Le DPC est une formation qui permet aux professionnels de la santé de réaffirmer leur niveau de pratique et d’acquérir par la même occasion de nouvelles connaissances et compétences. Pour faire simple, il s’agit d’un concept qui réunit les notions de formation continue et d’évaluation des pratiques professionnelles.

Aujourd’hui, l’idée reste toujours le même. En effet, les nouvelles formations DPC 2023 pour IDELS mettent toujours en avant le besoin d’acquérir de nouveaux savoirs et de vérifier régulièrement le niveau d’un professionnel de la santé.

La formation DPC est-elle obligation ? Si oui pour qui est-ce ?

Le DPC est une obligation qui incombe de manière individuelle les acteurs de certaines professions qui se rapportent à la santé. Il s’agira :

  • des médecins, des chirurgiens-dentistes, des sages-femmes, etc. (les professions médicales) ;
  • des pharmaciens, des préparateurs en pharmacie (les professions de la pharmacie) ;
  • des infirmiers, des pédicures-podologues, des masseurs-kinésithérapeutes, des ergothérapeutes, des techniciens de laboratoire médical, etc. (les auxiliaires médicaux) ;

Il faut également compter dans le lot les travailleurs des corps des aides-soignantes et des auxiliaires de puériculture. Outre ces professions, les autres qui sont liées au bien-être de l’homme comme les prothésistes dentaires, les psychologues, les diététiciens-nutritionnistes peuvent se passer d’une telle formation.

En quoi consiste réellement cette obligation ?

Le DPC est une obligation pour la majorité des professionnels de la santé, mais cela ne veut pas dire que vous devez vous inscrire à toutes les formations DPC dont vous voyez l’annonce. En effet, votre obligation est considérée comme respectée dès lors que vous participez, au cours d’une année civile, à au moins un programme de formation DPC. Il peut s’agir d’un programme collectif annuel ou pluriannuel.

Vous devez cependant vous assurer que le programme choisi est conforme à l’orientation nationale ou régionale de DPC. Il doit également se dérouler sur la base de modalités et méthodes attestées par la Haute Autorité de Santé (HAS). Vous pouvez obtenir la liste des organisateurs de DPC respectant ces critères en faisant un tour sur le site du ministère en charge de la santé ou celle de votre corps professionnel.

Au terme de chaque formation DPC que vous suivez, vous pouvez réclamer une attestation pour justifier votre participation à cette dernière.

Comment s’inscrire à une formation DPC en 2023 ?

En consultant le site du ministère de la Santé, vous aurez la liste des organisations qui mettent en place cette formation. Vous pourrez alors en faisant quelques recherches avec les informations de cette liste déterminer le centre de formation le plus proche de vous. Ensuite, il vous suffira d’obtenir les contacts de ce centre en visitant la plateforme internet de ce dernier et de les contacter.

Vous obtiendrez également à partir de la plateforme, des informations sur les dossiers à déposer et les exigences pour être éligible à leurs différentes formations. La dernière étape de votre inscription sera de compléter le formulaire de participation à une formation DPC sur le site de l’ANDPC (l’Agence Nationale du Développement Professionnel Continu).

Il faut noter qu’une inscription à une formation DPC est possible à tout moment puisque les différents programmes sont établis de manière à s’étaler sur toute l’année.

Quels sont les formats de cours disponibles pour un DPC ?

Les formations DPC sont pensées et mises en place pour des personnes travaillant. Elles sont donc dans des formats adaptés à l’emploi de temps des professionnels. Ainsi vous retrouverez aussi bien des formations DPC en présentiel qu’à distance. Vous pouvez également en trouver quelques hybrides qui associent des cours à distances à des séances de pratique en présentiel.

Si vous choisissez l’option de la formation en présentiel, les cours se dérouleront dans un établissement de santé ou dans un lieu agréé par l’ANDPC. Dans le cas contraire, les cours seront bien sûr via internet.

Comment choisir le format de la formation DPC à suivre ?

Comme expliqué précédemment, il existe trois différentes options en matière de cours quand vous décidez à suivre une formation DPC aujourd'hui. Et chacune d’elles présente non seulement des avantages, mais aussi des inconvénients.

La formation en présentiel vous exigera d’être présent à tous les cours. Pour un professionnel avec un emploi de temps très chargé, cela peut très vite devenir un calvaire. En effet, vous aurez à jongler avec les cours et votre travail si vous n’avez pas la chance de bénéficier de congés pendant la période. Ce format de cours présente cependant beaucoup d’avantages. Vous aurez par exemple la possibilité de poser vos questions de compréhension plus ouvertement. Vous aurez également la chance de faire de nouvelles connaissances. En vous rencontrant physiquement et régulièrement, vos relations humaines s’amélioreront rapidement. Cela pourrait vous servir plus tard dans le cadre de votre travail.

La formation à distance est la plus utilisée aujourd’hui. Elle a l’avantage d’être plus facile à gérer que la formation en présentiel. En effet, vous pouvez suivre vos cours de n’importe quel endroit. Cela représente un gain notable de temps et d’argent. Malheureusement, ce format de cours n’est pas exempté d’inconvénients. Vous aurez plus de mal à participer aux cours en choisissant de les suivre à distance. Vous serez également en difficulté si lors de vos séances vous rencontrez des problèmes de connexion.

Le troisième format qui est un mixte des deux précédents rassemble les points forts de ces derniers. En effet, vous pouvez suivre les cours à distance de n’importe quel endroit et quand viennent les séances de pratiques, vous pourrez plus interagir avec vos camarades. Cependant, il garde aussi une part des problèmes liés aux cours à distance et en présentiel. En effet, pendant les séances programmées pour se tenir à distance par exemple, vous pouvez aussi rencontrer des problèmes de connexion. Il est alors conseillé de choisir le format de sa formation DPC en fonction de son affinité avec ces différents modes d’apprentissage.

En somme, la formation DPC est une obligation pour la majorité des acteurs du monde de la santé allant des infirmiers aux chirurgiens en passant par les pharmaciens. Pour remplir cette obligation, vous devez suivre cette formation au moins une fois chaque année. Vous pouvez choisir entre faire les cours à distance, en présentiel ou de manières mixtes.

Auteur : boosterlink

Les IPA, des "infirmiers experts" dans la bataille de l'accès aux soins

mercredi 18 janvier 2023 par Brigitte Femenia

S'ils ne sont "pas la solution miracle" aux déserts médicaux, ils entendent contribuer à un meilleur accès aux soins: les infirmiers en pratique avancée (IPA) pourraient voir leurs missions élargies, ce qui suscite l'hostilité de certains médecins criant à la concurrence "low cost".

Portée par la députée Stéphanie Rist (Renaissance), rhumatologue de profession, une proposition de loi sera examinée dans la semaine en séance à l'Assemblée nationale pour ouvrir "l'accès direct" à ces infirmiers expérimentés au statut créé via la loi Touraine de 2016 et un décret en 2018.

Les patients pourraient se rendre chez ces soignants - le plus souvent des soignantes - sans passer par un médecin, mais toujours dans le cadre d'un "exercice coordonné" avec ce dernier.

Les IPA, qui ont un Bac+5 (deux ans d'études en plus par rapport aux infirmiers diplômés d'Etat), seraient aussi autorisés à faire certaines prescriptions de soins et médicaments.

Très remonté contre le texte, le collectif "Médecins pour demain", en pointe dans la récente grève des libéraux, vient d'écrire aux élus et préfets pour s'émouvoir que "des actes médicaux soient réalisés par des professionnels non-médecins". Les généralistes du syndicat MG France, eux, assurent vouloir "absolument" travailler avec les IPA, mais refusent qu'ils fassent "quelque chose pour lequel ils n'ont pas été formés".

"Des médecins libéraux ont l'impression que les IPA vont leur piquer une partie de leur boulot et faire de la médecine +low cost+, mais aucun fait n'appuie ce qu'ils racontent", rétorque Julie Devictor, présidente du Conseil national professionnel des IPA.

Il n'est pas question, souligne cette soignante de l'hôpital Beaujon à Paris, d'ôter aux médecins leur monopole dans la pose d'un diagnostic ou l'initiation d'un traitement. Mais de permettre aux IPA de faire certaines prescriptions, par exemple d'antalgiques. "Je suis très embêtée de déranger un médecin pour avoir le droit de prescrire du paracétamol !"

- "Pas des mini-médecins" -

"Les infirmiers en pratique avancée ne se prennent pas pour des mini-médecins, ils accompagnent le patient dans la prise en charge de sa maladie", défend Laurent Salsac. Cet IPA au sein d'un cabinet médical près de Tours travaille avec cinq généralistes ayant une importante patientèle de personnes âgées: ils lui confient le suivi de leur maintien à domicile, le renouvellement de médicaments...

"On mange ensemble tous les midis, évidemment qu'on parle des dossiers", fait valoir ce quadragénaire, qui exerce en complète "symbiose" avec les médecins.

Natacha Toch ne voit pas non plus de "concurrence" avec les spécialistes qui l'entourent, au sein d'un collectif parisien: "Au contraire, il y a une complémentarité". Son suivi des patients en alternance avec des cardiologues "permet de libérer des créneaux" pour que les médecins en accueillent de nouveaux. Un gain précieux alors que les délais d'attente chez certains spécialistes atteignent plusieurs mois.

Et à la campagne, "une infirmière en pratique avancée saura prescrire tout ce qui peut +emboliser+ une consultation médicale", souligne cette IPA âgée de 50 ans.

Laurent Salsac veut croire que la "pratique avancée", devenue "pérenne" dans "une quinzaine de pays", va s'installer en France. Au nombre de 1.400 en mars dernier, les IPA ne sont "pas la solution miracle" aux difficultés d'accès aux soins, reconnaît Julie Devictor, quand 6 millions de Français, dont 600.000 en affection longue durée, n'ont pas de médecin traitant. "Mais ils font partie de la solution, c'est sûr", estime-t-elle.

Encore faudra-t-il rendre la profession financièrement plus attractive. A l'hôpital, Julie Devictor affiche un salaire net de 2.300 euros par mois avec 17 ans d'expérience, deux masters et même un doctorat en poche. La situation est plus dégradée en ville, où "le revenu moyen d'un IPA est inférieur à 1.000 euros par mois", déplore-t-elle.

La profession espère l'appui du gouvernement, alors que le ministre de la Santé, François Braun, ne cesse de chanter les bienfaits de la "pratique avancée", notamment en matière de prévention. "Il partage le constat que nous sommes insuffisamment revalorisés", déclare Julie Devictor.

Source : actu.orange.fr

L'hypnothérapie : domaines d'application et formations y afférent

mardi 17 janvier 2023 par Brigitte Femenia

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Douleurs, addictions, phobies, dépressions, digestion, sommeil... En parlant de bienfaits, l'hypnothérapie est, limite, une médecine exacte. Dans ce sens qu'elle est sollicitée dans plusieurs domaines transverses, avec des effets positifs scientifiquement testés et prouvés. Son action analgésique en fait particulièrement une pratique de plus en plus sollicitée, après avoir longtemps été décriée dans le monde de la médecine. Quels sont les bienfaits de l'hypnose sur la santé physique et mentale ? Quelles formations pour devenir un hypnothérapeute ?

L'hypnose : qu'est ce que c'est ?

L’hypnose désigne à la fois une technique thérapeutique et un état modifié de conscience. Du grec « hupnoein » qui signifie endormir, l’hypnose désigne un état de transe, au cours duquel l’individu est entre l’état de veille et de sommeil. Une formation en hypnothérapie consiste donc à insuffler aux participants les techniques pour apaiser un patient grâce à la suggestion d'images et de pensées positives et rassurantes.

Cet état, proche du sommeil ou de la méditation, permet à l’individu d’approcher son inconscient tout en restant conscient du monde qui l’entoure. À bien y voir, la thérapie par l’hypnose vise à rendre accessibles au patient des ressources peu exploitées de son cerveau et à activer ses pouvoirs d’autoguérison à l’aide de suggestions réalisées durant cet état modifié de conscience. L'hypnose est donc une thérapie douce qui oriente le patient sur la voie de l'autoguérison, l'imposant comme l'acteur principal de tout le processus.

L'hypnothérapie et ses domaines d'intervention

L’hypnothérapie est l'utilisation de l'hypnose à des fins voulues thérapeutiques. Elle est pratiquée par un hypnothérapeute et plus largement par des psychothérapeutes pratiquant l'hypnose. Dans la pratique, l'hypnothérapie respecte l'intégrité du patient et apporte des effets favorables dans plusieurs domaines.

Ainsi, cette forme médecine douce est utile en obstétrique, permettant pour le moins de réduire les douleurs de l'accouchement. En complément à l'anasthésie, elle favorise la diminution du stress post-opératoire, tendant dans certaines circonstances à se substituer à l'anesthésie elle-même. En psychothérapie, la pratique de l'hypnose est notamment recommandée pour vaincre la timidité, servir de base de préparation pour des examens et concours, et résoudre des problèmes scolaires et professionnels.

Par ailleurs, l'hypnothérapie s'avère également efficace dans la lutte contre les troubles du comportement et les addictions y afférents comme le tabagisme ou l'alcool. Utilisée contre les addictions, elle fonctionne suivant le principe de révulsion où le praticien injecte dans l'imaginaire du patient les conséquences négatives extrêmes du vice dans le but de dissuader.

Principes de l'hypnothérapie

Comme défini plus haut, l'hypnothérapie est une thérapie brève qui consiste à attirer la conscience du patient dans un état neutre dans le but de le guérir. Comme toutes les psychothérapies, elle repose sur le principe phare de la puissance de la pensée mentale positive. Dans la pratique, elle fonctionne comme une sorte d'anesthésie, avec une conception parfois mystique.

Le patient est présent, sans être pour autant là, le praticien utilisant un ensemble d'images rassurantes pour dompter les contours de sa conscience. Celui-ci utilise un vocabulaire symbolique, en rapport avec le mal à traiter, pour focaliser l'attention du patient sur un stimulus positif. Ce stimulus va constituer l'objet de concentration du patient et être en même temps sa source de guérison. Le principe de l'hypnose est alors d'accéder à un état modifié de conscience, dans le but de revisiter la réalité et la façon dont le patient la perçoit, avec pour objectif de trouver de nouvelles ressources.

Dans ce contexte, comment peut-on apprécier le rôle de l'hypnothérapeute ?

Pour efficacement apprécier le rôle de l'hypnothérapeute, il est important de faire un rappel des nombreuses utilités que la pratique peut avoir au quotidien. Dans les grandes lignes, l'hypnose peut ainsi servir à réduire le stress et l'anxiété, à préparer un examen ou une épreuve importante, améliorer sa communication et surtout sa confiance en soi.

Dans ce contexte, un hypnothérapeute est un professionnel de santé qui a reçu une formation en hypnose. Dans certains contextes, le praticien peut ne pas avoir des préceptes en médecine soignante, la législation française considérant ce dernier comme détaché du corps médical. Quoi qu'il en soit, grâce à ses compétences, le spécialiste de l'hypnose sert à introduire des changements durables dans le subconscient de son patient, en fonction des objectifs définis au début de la thérapie.

Orienté vers les besoins de l'abonné, ce professionnel utilise sa voix pour accompagner le patient dans la recherche de solutions propices à combattre son mal ou son addiction au quotidien. En fonction du niveau de gravité, il met en place une ou série de séances pour aider le patient dans l'élaboration d'une solution sur-mesure, se limitant juste à jouer le rôle de guide et laissant la possibilité au patient de trouver seul le moyen de guérir.

Quelles formations et qualités pour devenir hypnothérapeute ?

De façon pratique, l’hypnose fait partie des médecines non conventionnelles. Plusieurs particuliers ont déjà exercé ce métier sans au préalable avoir reçu une formation en médecine de base. Pour mettre plus de chance de son côté, certaines formations et études peuvent être employées, assorties de diplôme d’état de psychothérapeute, de psychologue ou de psychiatre. En France, ces formations qualifiantes et diplômantes en hypnothérapie peuvent être suivies dans plusieurs établissements comme l'Institut français d’hypnose, l'Association Française pour l’étude de l’hypnose,  l'Université de Bordeaux ou encore l'Institut Noesis.

Elles permettent aux praticiens d'acquérir les techniques d’hypnose classique, subjective, ou ericksonienne. Pour une pratique efficace, il est par ailleurs recommandé de renforcer les formations de base par de connaissances en psychologie positive et en développement personnel, afin d'ajuster son coaching et se démarquer de la.concurrence. Quoi qu'il en soit, en termes de qualité, l'hypnothérapeute doit faire preuve d’une qualité d’écoute, de communication, et de la capacité à instaurer un climat de confiance avec son patient. Le sens du contact, le pouvoir de persuasion et également la patience sont de plus des atouts maîtres à faire valoir dans le domaine.

Auteur : boosterlink

Harpagophytum : quels sont les bienfaits de la griffe du diable ?

samedi 14 janvier 2023 par Brigitte Femenia

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Plante herbacée originaire de l’Afrique du Sud, l’Harpagophytum se distingue par ses nombreux principes actifs. Son utilité dans le traitement de nombreux maux en fait l’une des solutions naturelles les plus efficaces contre les douleurs arthritiques, les troubles digestifs et les douleurs lombaires. Voici l’essentiel à retenir sur les bienfaits et les propriétés de la plante-grappin !

Une solution contre les douleurs lombaires

La griffe du diable s’avère être une solution efficace contre les maux de dos. Après plusieurs essais cliniques, elle fait partie des produits les plus utilisés en phytothérapie pour réduire l’inflammation. Les Harpagophytum bienfaits se traduisent ici par l’inhibition de l’action des cytokines. Autrement dit, en se servant convenablement des racines de cette plante, il est possible de détruire les molécules à l’origine d’une irritation locale.

De nombreuses analyses permettent d’affirmer que l’Harpagophytum résorbe progressivement les douleurs lombaires. Cet effet est perceptible avec l’extrait aqueux de la griffe du diable.

Un anti-douleur naturel contre l’arthrose

Le principal effet de l’Harpagophytum consiste à réduire l’inflammation des articulations. Autrement dit, il s’agit d’un puissant anti-douleur, notamment contre les douleurs arthritiques. La griffe du diable apparaît dès lors comme une solution utile pour réduire la douleur et la gêne occasionnées par les rhumatismes.

L’efficacité de l’Harpagophytum couvre toutes les douleurs des articulations, des ligaments et des muscles. Cette plante est efficace contre :

  • l’arthrose ;
  • l’ostéoporose ;
  • l’arthrite ;
  • la spondylarthrite ;
  • la polyarthrite rhumatoïde…

Elle est également recommandée dans le cadre du traitement d’une maladie microcristalline, de la fibromyalgie et des tendinites.

Un effet bénéfique contre la goutte

La goutte se caractérise par une monoarthrite aiguë ayant pour principal symptôme le gonflement des articulations. Cette pathologie chronique se manifeste particulièrement par l’hypertrophie des orteils, des genoux ou des chevilles. Elle est due à l’accumulation de l’acide urique dans le liquide sanguin.

L’Harpagophytum soulage les symptômes de cette maladie, car il possède de puissantes propriétés anti-inflammatoires. Les bienfaits de cette plante se manifestent surtout par une réduction significative de l’acide urique dans le sang. D’autres études doivent néanmoins être menées pour en déterminer le fonctionnement !

Harpagophytum : un stimulateur d’appétit

La digestion est un processus complexe au cours duquel plusieurs enzymes et sucs interviennent. Un dérèglement de la sécrétion de l’une de ces substances entraîne des troubles digestifs plus ou moins importants. L’Harpagophytum a un effet positif sur la vésicule biliaire et le foie.

L’effet cholagogue de la griffe du diable induit la production de la bile au niveau du foie. Son action cholérétique favorise quant à elle l’élimination de cette substance par contraction de la vésicule biliaire. Il s’ensuit le drainage efficace du foie, la transition des toxines dans les intestins et l’élimination de ces déchets par les selles.

Dans ce processus, le surplus de toxine peut transiter vers les articulations et engendrer des douleurs. Il est donc recommandé d’associer l’Harpagophytum à une alimentation équilibrée !

Quelles sont les propriétés de l’Harpagophytum ?

Les bienfaits de l’Harpagophytum sont liés aux principes actifs contenus dans cette plante. Il s’agit principalement :

  • de l’harpagoside ;
  • des flavonoïdes ;
  • de la vitamine B1 et
  • des phénols.

Les substances contenues dans la griffe du diable lui confèrent des propriétés reconnues sur les plans médical et scientifique.

Posologie : comment bien utiliser la griffe du diable ?

L’Harpagophytum s’utilise de plusieurs manières et sous différentes formes. Il est possible de faire une décoction notamment en associant cette plante à la prêle des champs pour profiter de son action reminéralisante. Dans ce cas, il est recommandé d’infuser 1 g de griffe du diable pour 200 ml d’eau.

Sous la forme d’une teinture mère, il suffit de diluer 5 à 15 gouttes d’Harpagophytum dans un grand verre d’eau. La posologie recommandée est d’une prise par jour pour une cure de 3 semaines. Il convient également de respecter 1 semaine d’écart entre deux cures.

La racine de Windhoek existe aussi sous forme de crème ou de baume. Ici, il suffit d’appliquer le produit 2 ou 3 fois par jour sur les articulations meurtries. Il faut toutefois appliquer beaucoup de pression lors du massage afin de permettre aux principes actifs de pénétrer la peau.

Enfin, il est possible d’opter pour des comprimés ou des gélules d’Harpagophytum. La prise de ses compléments alimentaires dépend de la notice d’utilisation qui y est associée.

Il est possible d’obtenir la griffe du diable dans les officines et les magasins spécialisés.

Est-il possible d'associer l’Harpagophytum à d’autres produits ?

À l’instar d'autres plantes médicinales, il est possible d’associer l’Harpagophytum à d’autres substances pour en décupler les bienfaits. Le curcuma permet à cet effet de renforcer l’efficacité de la griffe du diable contre les douleurs articulaires. La bromélaïne s’ajoute aux principes actifs de cette plante pour une action anti-inflammatoire complète contre l’arthrose.

Le saule blanc et ses effets analgésiques permettent d’accélérer le soulagement des douleurs articulaires. L’ortie quant à elle possède des propriétés apaisantes. Son utilisation avec l’Harpagophytum est idéale dans le cas d’une douleur articulaire aux genoux.

La résine de boswellia est connue pour ses effets sur la souplesse des articulations. Associée à la griffe du diable, ce produit réduit considérablement les douleurs inflammatoires articulaires. Il en est de même pour la reine-des-prés et ses bienfaits antalgiques. Cette dernière association garantit aussi l’entretien du confort articulaire de son utilisateur.

Racine de Windhoek : contre-indications et effets secondaires

Il est recommandé de demander l’avis d’un médecin avant de faire une cure d’Harpagophytum. Ce conseil est surtout valable pour les personnes sous traitement médical et celles qui souffrent d’une maladie cardiaque comme l’hypertension artérielle.

Les personnes sensibles de l’estomac doivent s’assurer de prendre de la racine de Windhoek pendant un repas s’ils choisissent une cure par voie orale. Par ailleurs, le respect des doses recommandées est crucial. La griffe du diable se caractérise par une action spasmolytique. Elle est donc susceptible d’entraîner des troubles digestifs après une prise en trop grande quantité.

Les effets secondaires peuvent être la diarrhée, la nausée ou le vomissement. D’autres manifestations bénignes sont à prévoir. Il s’agit notamment des maux de tête et de la sensation de vertige. En cas de doute, il est recommandé de consulter un médecin ou tout autre professionnel de la santé dans les plus brefs délais.

Auteur : boosterlink

Santé et bien-être : 7 astuces minceur efficaces pour perdre du poids

jeudi 12 janvier 2023 par Brigitte Femenia

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Plusieurs astuces peuvent être utilisées au quotidien pour perdre du poids de manière efficace et rapide. Il est ainsi possible de consommer les très appréciés produits minceur pour perdre les kilos superflus. En outre, il est conseillé de revoir son alimentation pour un résultat satisfaisant sur le long terme. Voici l’essentiel à savoir sur les bonnes habitudes à adopter pour maigrir !

Consommer des produits minceur

Pratiques et accessibles à tous, les produits minceur sont de plus en plus utilisés par ceux qui souhaitent brûler des calories de manière durable. Si certains ne jurent que par les fameux probiotiques, d’autres préfèrent consommer des compléments naturels comme le matcha slim ou le gingembre pour perdre plus facilement leurs kilos superflus.

Le Matcha Slim fait sans conteste partie du haut du panier en ce qui concerne les produits minceur les plus efficaces. Ce complément alimentaire qui se rapproche du thé vert japonais se présente généralement sous forme de poudre. Il réduit le taux de calorie de manière significative tout en gardant ceux qui le consomment en bonne santé. Deux bonnes raisons de mettre ce produit dans son panier de courses de toute urgence !

Mâcher plus longtemps les aliments présents dans l’assiette

L’alimentation joue un rôle important dans la perte de poids. Il est ainsi possible de remodeler sa silhouette en mâchant plus longtemps les aliments présents dans l’assiette. Cette astuce imparable permet aussi de manger moins.

Par ailleurs, il est important de prendre le temps de manger sur une période d’au moins 20 minutes. Ce laps de temps permet au cerveau de réguler la satiété et de limiter les excès. Plusieurs astuces peuvent être utilisées pour réussir à mâcher plus longtemps entre chaque bouchée. Il est notamment recommandé de poser ses couverts sur la table après chaque bouchée.

Le conseil de l’expert ? Prendre des bouchées plus petites et manger dans une assiette aux dimensions réduites.

Faire des activités pour réduire le stress

En général, le stress chronique peut empêcher de perdre du poids ou, a contrario, de grossir. Cet état de fait peut s’expliquer par une augmentation du niveau de l’hormone « cortisol », qui a tendance à perturber le fonctionnement hormonal et augmenter l’inflammation des tissus de l’organisme.

En outre, le stress augmente l’appétit et incite à consommer des aliments « réconfortants » et très caloriques pour se sentir mieux. Il est donc essentiel d’adopter quelques bonnes habitudes pour réguler son stress au quotidien.

Plusieurs activités permettent de se sentir mieux sans adopter de mauvaises habitudes alimentaires. Il s’agit entre autres :

  • de la méditation ;
  • du yoga ;
  • des exercices de relaxation.

Pourquoi ne pas adopter la marche pour se vider la tête et perdre du poids ? En outre, les activités physiques comme le Tai-Chi sont de bons alliés pour lutter contre le stress.

Adopter de bonnes habitudes de sommeil

L’une des astuces pour perdre du poids de manière efficace concerne les heures et les habitudes de sommeil. En règle générale, de bonnes nuits de sommeil sont indissociables de la perte de graisse et de poids.

Le manque de sommeil peut perturber le système hormonal et entraîner une augmentation de la faim et de l’appétit, ce qui ne fait pas disparaître les kilos en trop. Le laps de temps imparti pour un sommeil réparateur varie en fonction des habitudes de vie et du métabolisme de chacun. Toutefois, il est conseillé de dormir entre 7 et 9 heures par nuit.

Ceux qui ont du mal à fermer les yeux une fois les lumières éteintes peuvent arrêter de fixer un écran une heure avant de dormir. Il est également conseillé d’éviter de prendre du thé ou du café dans l’après-midi.

Astuces pour perdre du poids de manière efficace : manger équilibré

Une alimentation équilibrée permet de limiter le stockage de graisses dans l’organisme et de contrôler son poids. Il est donc conseillé de manger mieux pour un résultat satisfaisant, pas de manger moins. Tout est dans la nuance !

Consommer principalement des aliments de qualité et riches en nutriments aide l’organisme à rester en bonne santé et limite la prise de poids. En outre, ce type d’aliments permet de combler et d’éviter les carences nutritionnelles.

Les placards de la cuisine doivent de ce fait être remplis de légumes, de céréales complètes et de fruits. Une alimentation équilibrée doit être adoptée de manière journalière. Il est aussi conseillé de boire suffisamment d’eau pour rester hydraté et éliminer les toxines présentes dans l’organisme.

Cuisiner soi-même des repas complets

Pourquoi ne pas prendre l’habitude de préparer soi-même ses repas ? Cette mesure permet de maîtriser les quantités de sucre, de sel ou de matières grasses présentes dans les aliments. Un plat sain et fait soi-même permet de perdre du poids de manière significative tout en réalisant d’importantes économies.

S’impliquer soi-même dans la préparation de ses repas et de ceux de ses proches permet par ailleurs de reprendre confiance en soi et de limiter l’achat de produits tous faits.

Lorsque vient l’heure de faire les courses, il est conseillé de choisir des produits bruts, de saison et bio dans l’idéal. En outre, des aliments comme les viennoiseries et les soupes en sachet doivent être limités au maximum. Réduire sa consommation de boissons sucrées et d’alcool évite également de prendre du ventre.

Faire du sport de manière régulière

L’un des moyens les plus efficaces et reconnus pour perdre du poids sans régimes est d’augmenter son activité physique au quotidien. Le sport apparaît donc comme un excellent allié pour brûler les calories et réduire le stress provoqué par la grisaille du quotidien.

Les experts recommandent fortement de faire entre 30 minutes et 1 heure de sport, montre en main. De même, 5 jours par semaine au minimum doivent être consacrés au sport. Cette bonne habitude peut aider à perdre 2 kilos par mois sur le long terme.

En général, il est plus efficace de suivre un programme sportif équilibré composé d'exercices de cardio réguliers (marche rapide et course à pied) et de renforcement musculaire.

Ceux qui n’aiment pas le sport peuvent perdre du poids en adoptant quelques habitudes de vie saine comme le fait de cuisiner debout. Prendre les escaliers pour se déplacer au lieu de l’ascenseur permet également de limiter les kilos en trop.

Auteur : boosterlink