Actualités pour les infirmières libérales

Retrouvez sur cet espace les actualités dénichées sur le web et concernant la profession d'infirmier(e) libérale. Nous remercions les sites d'origine pour leurs articles.

UN NOUVEAU COMPTE PERSONNEL PERMET D'ESTIMER LE MONTANT DE SA FUTURE RETRAITE

Monday 17 October 2016 par Brigitte .

Vous êtes retraité, salarié, indépendant, fonctionnaire ou chômeur, et vous aimeriez savoir quel sera le montant de votre pension ? Le ministère des Affaires sociales a créé un site pour vous guider.

Combien recevrai-je par mois ?

Sur le site Internet www.info-retraite.fr, il est désormais possible de créer un « compte personnel retraite ». Il vous aidera à estimer le montant de votre pension, à connaître la date de départ à taux plein et d’autres droits.

La plateforme permet à chacun de connaître ses droits à la retraite (période validée, date éventuelle de départ à taux plein, etc.), ses interlocuteurs (régimes et caisses de retraite) et de comprendre les spécificités de son régime de retraite.

« Un traducteur et un conseiller retraite accompagnent chaque usager dans la connaissance de ses droits et des règles applicables », précise dans un communiqué le ministère.

Dans les prochains mois, un nouveau simulateur viendra compléter ces services, pour permettre aux usagers de déterminer les modalités de leur fin de carrière, précise-t-il.

Par ailleurs, à partir du 1er janvier 2019, chacun pourra formuler une demande unique de retraite en ligne, là où actuellement des demandes doivent être déposées auprès de chaque régime de rattachement.

Un choc de simplification

La loi du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites a introduit des mesures pour simplifier le système (et équilibrer les régimes, ce qui était indispensable tant les caisses de retraite frôlaient la banqueroute).

Le nouveau site s’inscrit dans l’affirmation d’un droit récent : le droit à l’information retraite.

« Au-delà de la garantie qu’ont les Français de disposer d’une retraite, avec le retour à l’équilibre financier de l’assurance vieillesse, j’ai voulu donner à chacun la possibilité de choisir sa retraite. Le lancement du compte personnel retraite est le reflet de cette volonté : il est un outil au service des choix offerts à chaque Français », a déclaré Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé

Source : www.economiematin.fr

Carpimko : En octobre, vous recevrez un second appel à cotisation et une régul

Saturday 15 October 2016 par Brigitte .

La CARPIMKO est une des dix sections gérant les retraites des professionnels libéraux au sein de la CNAVPL. Son fonctionnement est contrôlé par le ministère des Affaires sociales et de la Santé, de l’Économie et des Finances, ainsi que par la Cour des comptes.

Old couple on bridge http://barnimages.com/

La CARPIMKO est gérée par un conseil d’administration de vingt membres titulaires et vingt membres suppléants, élus par ses affiliées actifs au sein de 5 professions : les infirmiers, les masseurs-kinésithérapeutes, les podologues, les orthophonistes et les orthoptistes. À ces vingt membres titulaires, s’ajouteront deux nouveaux administrateurs issus du nouveau Collège des Retraités, ce qui portera à 22, le nombre d’administrateurs de la CARPIMKO.

Le conseil d’administration de la CARPIMKO a pour mission de gérer le bon fonctionnement du régime complémentaire de notre retraite, soit environ 40% du montant de notre retraite et de défendre les intérêts des adhérents en difficulté, à travers la commission de recours aimable (CRA) et le fonds d’action sociale (FAS).

Si le conseil d’administration gère le bon fonctionnement du régime complémentaire, c’est l’Etat qui décide seul des taux de cotisation. En octobre 2012, la CARPIMKO avait exprimé à l’unanimité son plus profond désaccord à l’encontre du projet de décret augmentant les taux de cotisation du régime d’assurance vieillesse de base des professions libérales, pénalisant les petits revenus.

L’État impose une régularisation à N-1

Jusqu’en 2015 la cotisation du régime de base était calculée à titre provisionnel sur la base des revenus déclarés 2 ans auparavant, mais la loi du 20 janvier 2014 change cette réglementation. À partir de cette année 2016, la nouvelle réglementation prévoit une régularisation des cotisations un an plus tôt que précédemment.

Ainsi, après la déclaration de vos revenus de 2015, il sera procédé un recalcul de la cotisation provisionnelle de 2016 et à l’appel de la cotisation définitive de 2015, c’est ce qu’on appelle le «2 en 1».

Si à l’unanimité, le Conseil d’Administration de la CARPIMKO et de la CNAVPL ont contesté cette nouvelle réglementation, l’État a refusé tout dialogue, pour nous l’imposer.

En mars 2016, les kinésithérapeutes ont reçu le premier appel de la cotisation provisionnelle 2016 calculée sur les revenus 2014 et la régularisation de la cotisation de l’année 2014 sur la base de ces mêmes revenus.

En septembre 2016, les kinésithérapeutes recevront un second appel avec le recalcul de la cotisation provisionnelle 2016 sur les revenus 2015 et la régulation de la cotisation de l’année 2015 sur la base de ces mêmes revenus.

Conseils :

Si vous avez reçu un montant important à régler, nous vous conseillons de mensualiser votre cotisation. Vous devez d’ores et déjà provisionner la somme pour éviter toute mauvaise surprise.

Les dates de paiement pour la première fraction sont fixées au 31 mars, pour la seconde au 30 septembre.

Pour tout délai de paiement, vous pouvez envoyer une demande écrite et motivée auprès de la Caisse avant ces deux dates d’échéance.

Une prochaine régulation à N+1 ?

Deux décrets d’application issus de la loi de finances pour 2014 imposaient à compter de 2016 une nouvelle méthode de calcul de cotisations du régime de base : le « 3 en 1 » qui imposerait une régulation non plus à N-1 mais à N+1, c’est-à-dire qu’en plus de l’échéance du « 2 en 1 », il serait ajouté la cotisation provisionnelle de 2017 !

Le conseil d’administration de la CARPIMKO rejoint par celui des autres caisses des professions libérales (CNAVPL) a exprimé son total désaccord sur ce dispositif dit du « 3 en 1 », conçu pour le RSI, qu’il estime inadapté aux professionnels libéraux, très coûteux à mettre en œuvre et dont il a été demandé le retrait. Les discussions entamées sur ce sujet sont toujours en cours.

En juin 2016, les kinésithérapeutes éliront leurs représentants à la CARPIMKO. Parmi les 5 professions de santé représentées au sein de la CARPIMKO, les masseurs-kinésithérapeutes sont ceux qui votent le moins, avec un taux de participation qui ne dépasse pas les 25% alors que notre profession représente la seconde section après les infirmiers.

Plus nous nous mobiliserons, plus les membres de la CARPIMKO auront du poids pour s’opposer farouchement contre la nouvelle méthode de calcul de cotisation du régime de base : « 3 en 1 » qui est à la fois un danger et une injustice pour notre profession.

Source : snmkr.fr

"Tu n'es qu'une infirmière": cette fois, c'est la dernière fois! L'une d'entre elles l'a fait savoir

Thursday 13 October 2016 par Brigitte .

sur Facebook
13 octobre 2016

Les infirmières commencent à en avoir marre d'être traitées de "simples infirmières". Parce que c'est un métier fait de larmes, d'efforts et de sang. Une infirmière australienne de Queensland était fatiguée d’entendre à nouveau qu'elle n'était qu'une infirmière. Elle a décidé de témoigner sa colère dans une lettre pleine d'émotion qui fait un carton sur Facebook.

© Getty Images
Caitlin Brassington s'est rendue en uniforme dans un magasin et a rencontré une connaissance qui ne savait plus qu'elle "n'était qu'une infirmière".

Okay, ce n'est pas la première fois en 18 ans de carrière qu'elle entend ce genre d'absurdité, mais ça sera en tout cas la dernière. Parce que Caitlin sait que toutes les infirmières dans le monde méritent plus de respect. Elle a donc partagé une lettre sur Facebook pour le faire savoir.

"Sur mes 18 ans de carrière, j'ai entendu cette phrase tant de fois. Mais cette fois ça m'a touché. Je suis juste une infirmière?" C'est par cette phrase qu'elle commence sa longue argumentation sur ce formidable métier.

- "Je mets des bébés au monde, et beaucoup d'entre-eux ont besoin d'aide pour pouvoir respirer pour la première fois, mais pourtant je suis juste une infirmière."

- "J'ai tenu dans mes bras des patients mourants, soutenant leur dignité jusqu'au dernier souffle, mais pourtant je suis juste une infirmière."

- "J'ai loupé beaucoup de Noël et d'anniversaires de mes enfants, juste parce que je ne suis qu'une infirmière."

Ce message a depuis été massivement partagé. Une des réponses au post a tout résumé: Les infirmières valent de l'or, c'est pourtant le job le moins bien payé avec le plus d'heures de travail"...

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10154663456277578&set=p.10154663456277578&type=3

Source : fr.newsmonkey.be

Grande mobilisation de toute la filière infirmière le 8 novembre

Thursday 13 October 2016 par Brigitte .

Les principales organisations d'infirmiers et d'infirmières salariés de la fonction publique et du secteur privé ont lancé un appel commun à la mobilisation pour le mardi 8 novembre.
Lors de la manifestation IADE du 22 mars 2016
Lors de la manifestation IADE du 22 mars 2016
Syndicats, organisations et associations sont unanimes : le 8 novembre prochain, les infirmiers, qu'ils soient spécialisés ou non, sont appelés à faire grève.
CNI, SNPI, SNICS, SNIA, ANEIA, UNAIBODE, AEEIBO, ANPDE, SPL...Une grande partie des organisations professionnelles ont en effet lancé un appel à une mobilisation massive des soignants.
Les infirmiers unis
La colère gronde dans les hôpitaux. Les infirmiers aimeraient être entendus. Reconnaissance de la pénibilité par un départ anticipé à la retraite, revalorisation salariale, réactualisation du décret d'actes infirmiers, détermination de ratios infirmiers au lit du patient par spécialité, retrait de l'article 51 de la loi Bachelot HPST relatif au transferts d'actes... Les revendications des syndicats sont nombreuses.
"Un collectif est en cours de constitution, avec de nouvelles organisations qui se rajoutent chaque jour. Une plateforme revendicative et des modalités d'actions sont en cours d'élaboration " explique Thierry Amouroux, Secrétaire Général du SNPI.
Même son de cloche du côté de la CNI. "Nous sommes en train de créer un socle unitaire avec des revendications communes, que l'on communiquera dans un ou deux jours" précise Nathalie Depoire, présidente de la CNI.
Grande manifestation nationale? Actions locales dans les établissements? Quelle que soit la forme exacte de cette mobilisation, les professionnels espèrent en tout cas marquer les consciences.
Des revendications générales...et spécifiques
Les syndicats déplorent notamment "les conditions de travail quotidiennes" et "les salaires trop bas", explique Nathalie Depoire, qui reformule des revendications déjà exprimées lors de la grève du 14 septembre.
Le SNPI, qui a déjà rédigé un communiqué propre, s'oppose par exemple aux restructurations comptables en Groupement Hospitaliers de Territoires GHT, aux fermetures de lits (100.000 en 10 ans) et aux suppressions de postes des Plans de Retour à l’équilibre PRE ainsi qu'au plan ONDAM (Objectif National des dépenses de l'Assurance Maladie) triennal de 3,5 milliards d’économies sur les hôpitaux.
Parmi les revendications portées par les syndicats, certaines sont aussi spécifiques aux filières dites de "spécialités".
Habitués à mener des initiatives propres, les infirmiers anesthésistes par exemple, n'hésitent pas cette fois, à mener une campagne commune pour faire entendre leur voix.
Les IADE demandent notamment une meilleure reconnaissance de la profession : corps spécifique de métier intermédiaire niveau profession master, grille indiciaire et salariale réévaluées.
La reconnaissance de l'autonomie ainsi que le maintien et le renforcement de la place des IADE dans les services d'anesthésie-réanimation et les SAMU-SMUR (autres revendications des derniers mois )ayant déjà été obtenus par un projet de décret qui devrait passer le 27 Octobre.
"Il y a des choses très positives, mais le gouvernement et le ministère ne veulent pas lâcher la reconnaissance financière. On se joint donc à la mobilisation commune, mais il faut savoir qu'il y aura très rapidemment une autre mobilisation spécifique pour le IADE " explique Vincent Porteus, de l'UFMITC-CGT IADE.
En un an, les IADE se sont déjà mobilisés 4 fois. Cette fois, ils feront front uni avec les autres filières infirmières.
Les infirmiers de bloc et les puéricultrices aussi
Reçus à plusieurs reprises au ministère ces derniers mois, les représentants des IBODE estimaient récemment que les dossiers avançaient. Réingéniérie de la formation et grade master : il y a quelques mois, Brigitte Ludwig, présidente de l'UNAIBODE, était même plutôt confiante par rapport à ses revendications, même s'il fallait attendre "qu'une méthodologie entre les ministères, les universités et les régions se mette en place". "On s' approche du master, on sent vraiment qu'il y a une avancée par rapport à cela" expliquait-elle d'ailleurs à ActuSoins en mai dernier.
Les IBODE avaient également obtenu, à défaut d'une réingéniérie rapide de la formation, qu'un tableau de concordance entre le référentiel de formation actuel et le référentiel de compétences soit élaboré pour ne pas pénaliser les infirmiers inscrits dans un cursus de VAE. Mais l'attente pour le reste semble être trop longue.
"On avait beaucoup d'espoir. Nous sommes mi-octobre et malheureusement il ne se passe rien. Nous n'avons rien de concret. Il faut que le ministère de la santé actuel aille au bout de ses promesses sinon on risque de devoir tout recommencer avec un nouveau gouvernement, puisque les élections présidentielles ont lieu dans quelques mois... " explique la présidente de l'UNAIBODE.
Les infirmières puéricultrices, via l'ANPDE, rejoindront aussi le mouvement.
Car infirmiers et infirmiers spécialisés sont unanimes : pour garantir une qualité et une sécurité des soins, il faut revoir les conditions d'exercice ainsi que la reconnaissance des professionnels.
Un communiqué devrait être diffusé dans les prochains jours pour connaître la nature exacte de la mobilisation. A suivre.

Source : www.actusoins.com

Les infirmières libérales bien décidées à se faire entendre…en novembre !

Monday 26 September 2016 par Brigitte .

Les infirmières libérales bien décidées à se faire entendre…en novembre !

Semaine après semaine, les infirmières libérales se sentent un peu plus oubliées voire méprisées par leur autorité de tutelle. La colère monte et les revendications sont nombreuses, à un moment où un vaste mouvement des professionnels libéraux de santé en novembre prochain s’organise…

Les infirmières en danger, les IDEL(s) aussi se sentent menacés

Le 05 août dernier, l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS) a publié son rapport sur l’année 2014. Au cours de cette dernière, 18.143 personnes ont été victime d’agressions verbales ou physiques, agressions ayant fait l’objet de 14.502signalements. Dans 85 % des cas ces agressions sont commises aux dépens du personnel de santé et les infirmières et infirmiers sont concernés dans 45 % des cas, soit presque une situation sur deux. Le rapport, consultable en ligne sur le site du Ministère des Affaires sociales et de la Santé, ne concerne par définition pas les infirmières libérales.

Mais lorsque 15 infirmiers sont victimes chaque jour d’agressions dans des établissements de santé, on peut se douter que la violence ne s’arrête pas à la porte des domiciles, au sein desquelles œuvrent les infirmières et infirmiers libéraux. La publication de ce rapport a marqué un durcissement des tensions entre la profession infirmière et le Ministère de la Santé en cet été 2016, marqué par le drame du suicide de plusieurs infirmières. Loin d’être détachés de ces préoccupations majeures, les infirmières et les infirmiers libéraux ont également de quoi craindre pour leur propre sécurité. L’agression d’une infirmière libérale, le 02 septembre dernier, par un patient à Vincennes, patient tué par les policiers alertés de ces violences.

Du sentiment d’abandon à la révolte, les infirmières et infirmiers libéraux prêts à se mobiliser

Ce fait divers tragique n’est que le reflet visible d’un véritable malaise. Intervenant au domicile de leur patientèle, les infirmières et infirmiers libéraux sont conscient du potentiel danger, qui, il faut le rappeler, ne constitue pas la règle. C’est plus le silence du Ministère de la Santé, qui pose problème, comme cela a été le cas, ces semaines passées. Les difficultés liées à la prise en charge de patients, souffrant de troubles psychiatriques, reviennent sur le devant de la scène, sans que les autorités ne puissent y apporter de réponses. A ce jour, le Smartphone ou le téléphone portable de l’infirmière libérale reste le seul outil d’alerte des infirmières libérales

Cette résurgence des conditions de travail difficile vient renforcer un climat plus que tendu entre les infirmières libérales et leur autorité de tutelle. Nous avons déjà évoqué l’opposition entre infirmières et infirmiers libéraux d’une part et hospitalisation à domicile (HAD) d’autre part. Mais désormais, une nouvelle opposition s’est faite jour et concerne le quotidien des IDEL(s).

L’organisation régionale de la santé se fera sans les infirmières et infirmiers libéraux

C’est encore une des conséquences de la loi de santé si décriée, qui a mobilisé tous les syndicats d’infirmières et infirmiers libéraux. Le projet régional de Santé (PRS) doit définir les besoins d’implantation mais aussi s’accorder sur les objectifs d’offres de soins par activité. Les conseils territoriaux de santé (CTS) participent grandement à ces prises de décision.

Or, si les infirmières et infirmiers libéraux restent, dans la grande partie des cas, les garants du maintien à domicile des patients 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ces professionnels de santé ont été écartés et ne feront donc pas partie de ces CTS. C’est par un arrêté du 03 aout 2016, que cette décision incompréhensible a été prise.

C’est un affront de trop pour les infirmières libérales, qui se voyaient déjà impuissantes à s’organiser devant la généralisation coûte que coûte de l’H.A.D. Si les infirmières libérales portent de nombreuses revendications, elles ne sont pas les seules, puisque toutes les professions de santé sont concernées à un degré plus ou moins important.

Dans ces conditions, et conscient des prochaines échéances électorales qui se préparent, plusieurs syndicats ont déjà appelé les infirmières et infirmiers libéraux à se mobiliser dans un grand mouvement des professionnels de santé contre la loi santé et ses effets pervers, mouvement initié par l’Union Française pour une Médecine Libre (UFML). En novembre prochain, le temps sera donc venu de se faire entendre, et il ne fait aucun doute, que les IDEL(s) auront alors l’occasion de mettre en avant leurs griefs.

Source : www.albus.fr