Avoir des kilos en trop entraine l’obésité. Cela favorise aussi des affections cardiovasculaires. Pour éviter ces problèmes, les consommateurs qui ne sont pas satisfaits de leurs poids ont recours à diverses solutions pour affiner certaines parties de leur corps. L’une d’elles est le ballon gastrique. Il s’agit d’une technique qui consiste à insérer le ballon dans l’estomac du patient. Le produit prend place dans le ventre et crée une sensation de satiété. L’intéressé mange moins et retrouve un corps de rêve au bout de quelques mois. Plus concrètement, cette méthode de perte de poids est-elle pour tout le monde ? Présente-t-elle des risques ? Quels sont ses bénéfices ? Combien prévoir pour ce programme ? Les réponses dans cet article.

Le ballon gastrique est réservé pour qui ?

Comme souligné sur le site https://obesite-france.com/ballon-gastrique, le ballon gastrique n’est pas fait pour tout le monde. Certaines conditions sont à remplir pour participer à ce programme. Plus précisément, le patient :

• Doit être adulte (plus de dix-huit ans),
• Doit présenter un indice de masse de masse corporelle (IMC) supérieure à 25.

Si le ballon gastrique est réservé aux majeurs, certains éléments peuvent entrainer une réponse négative à la participation à ce programme de perte de poids. Si vous êtes enceinte ou souffrez d’une maladie chronique par exemple, aucun spécialiste n’acceptera de placer le ballon gastrique dans votre estomac. De plus, les personnes qui ont des problèmes d’ulcère, qui souffrent de la maladie de Crohn, de boulimie, d’anorexie ne sont pas éligibles au ballon gastrique.

Les différents types de ballon gastrique

Il existe plusieurs types de ballon gastrique. Parmi ces derniers se trouvent le ballon gastrique en silicone souple et le ballon en polyuréthane. Ce dernier est conseillé à tous les patients qui ont essayé des solutions naturelles pour perdre leurs kilos en trop ou maigrir, mais qui n’ont pas eu les résultats escomptés. Ce type de ballon reste dans l’estomac plus de six mois et a déjà aidé des centaines de personnes dans le monde à atteindre leurs objectifs.

Quant au ballon en silicone souple, ce dernier est recommandé à toutes les personnes qui ont des difficultés à perdre du poids avec les solutions naturelles ou les programmes médicalisés. Il est efficace et dure environ un an dans l’estomac du patient.

Préparation et la pose du ballon gastrique

Avant la phase de la pose du ballon gastrique dans l’estomac, le patient doit consulter certains experts de l’obésité comme le psychologue et le nutritionniste. Des séances avec ce dernier permettent de vérifier si le sujet a un problème alimentaire responsable de sa prise de poids. Des tests médicaux lui seront également exigés selon le médecin. Ces derniers sont réalisés pour évaluer l’état de santé du patient avant toute décision.

Après l’étape de la préparation suit celle de la pose du ballon gastrique. Le spécialiste introduit dans l’estomac par voie orale un ballon vide. Une fois cela fait, il charge le ballon avec du sérum physiologique (400 à 600 ml selon le ballon choisi et la taille du patient). Pour ne pas dépasser la dose du liquide ingérée, le spécialiste de santé fait recours à des images radiographiques.

En outre, l’opération de pose se déroule sous anesthésie et dure environ une demi-heure. Selon le type de produit choisi, le ballon gastrique devient inefficace au bout de six ou douze mois, ce qui entraine son retrait.

Le retrait du ballon gastrique

Le retrait du ballon gastrique n’est précédé d’aucun examen médical. Le jour J, le spécialiste introduit par voie orale un tube endoscopique et retire le ballon gastrique déjà dégonflé. L’estomac du patient retrouvera donc sa taille habituelle.

Toutefois, il faut noter que cette technique de retrait n’est pas appliquée à tous les ballons gastriques. Avec certains modèles, le médecin n’aura pas besoin d’insérer un quelconque produit dans l’estomac du patient. Ils s’évacuent de manière naturelle par voie digestive.

Insérer le ballon gastrique dans l’estomac suffit-il pour perdre du poids ?

Pour atteindre vos objectifs de perte de poids avec le ballon gastrique, il faut un suivi médical rigoureux. De plus, certaines règles d’hygiène sont à respecter sans oublier le fait que vous ne devez pas consommer tout ce qui tombe sur vos mains. Vous devez adopter une alimentation équilibrée et faire de temps en temps du sport.

Les bénéfices du ballon gastrique

Comme dit précédemment, la dépose du ballon gastrique dure environ 30 minutes. Pour le retrait, la séance dure moins de 20 minutes. Le patient peut donc rejoindre son domicile le même jour de l’opération. L’autre bénéfice avec cette solution de perte de poids est qu’elle est efficace. Au bout de six mois, le patient perd environ 25 kg, certains médecins l’ont prouvé. On comprend donc pourquoi il y autant d’engouement derrière cette solution.

Le ballon gastrique a-t-il des risques ?

À l’instar des autres solutions d’amincissement, le risque zéro n’existe pas. Le ballon gastrique peut entrainer après la pose des vomissements, des douleurs de dos, des reflux gastriques et des nausées chez le patient. Dans certains cas, il peut provoquer des saignements et d’autres complications plus graves. C’est pour cela qu’il est recommandé à tous les médecins d’être prudent lors de l’opération.

Combien prévoir pour la pose du ballon gastrique ?

Le prix de la pose diffère du pays dans lequel vous résidez. Si vous vivez en France, vous devez prévoir environ 3 000 euros. Toutefois, s’il est plus abordable que certaines solutions de perte de poids, la pose du ballon gastrique n’est pas prise en charge par l’assurance maladie. De plus, le patient ne sera pas remboursé par la sécurité sociale.

En somme, le ballon gastrique est la meilleure alternative pour toutes les personnes à la recherche d’une solution efficace pour perdre du poids. Il a d’ailleurs aidé des milliers de personnes dans le monde à atteindre leurs objectifs. Selon le type de produit choisi, le ballon gastrique est laissé dans l’estomac durant 6 à 12 mois et se retire une fois qu’il devient inefficace.

En tant qu'infirmier.e libéral.e, vous avez des journées à rallonges pour pouvoir voir tous vos patients, mais vous passez également beaucoup de temps à gérer les charges afférentes aux soins. Julie, infirmière en exercice libéral depuis 2016, a trouvé une solution pour réduire ce temps, tout en sécurisant le circuit du médicament. Elle nous parle de ce que MonOrdo a changé dans son quotidien, et celui de ses patients.

Des charges afférentes aux soins de plus en plus lourdes

Non seulement toutes les infirmières libérales ont des amplitudes horaires très larges afin de pouvoir voir tous leurs patients, mais la plupart se voient également dans l’obligation de travailler durant leurs pauses pour gérer les charges afférentes aux soins. Ces charges sont des tâches qu’elles ne peuvent pas facturer, mais qui sont indispensables pour pouvoir mener à bien le suivi et les soins de leurs patients. Il s’agit dans la plupart des cas de gérer la logistique des médicaments et des ordonnances. Or, depuis la pandémie de COVID-19, joindre les secrétariats médicaux demande plus de temps encore qu’auparavant.

“Je pense qu’on en a au moins pour 3h par jour.” déclare Julie. “Entre le téléphone, les ordonnances à récupérer [...], les médecins qui ont oublié de faire renouvellement de prescription, la relance du personnel hospitalier suite à une hospitalisation,[...], appeler la pharmacie parce que le médicament n'est pas arrivé[...]toutes nos pauses elles y passent !”.

Mais la pandémie a eu également d’autres effets négatifs. En raison du manque de personnel soignant, les hospitalisations sont plus rares et les IDEL se retrouvent à gérer des patients nécessitant des soins “plus lourds”.

Pour les patients qui ne sont pas autonomes ou dans l’incapacité d’aller à la pharmacie et qui sont seuls, les infirmiers à domicile s’occupent de la logistique liée au traitement, et cela n’est pas simple.

En effet, les laboratoires pharmaceutiques proposent des conditionnements différents. Parfois ce sont des boîtes de 28, 30 ou de 31 jours. Le problème, c’est qu’en raison de ces conditionnements différents, les boîtes de médicaments ne sont pas finies en même temps et il y a un risque de tomber en rupture. Dans certains cas, il faut commander les boîtes à l’avance. “80% du temps, il manque une boîte” souligne Julie.“On n’est pas infaillibles. Dans les journées qu’on a, c’est facile de rater un médicament, [...] d’oublier de dire aux collègues qu’il n’y a plus tel ou tel médicament. [...] “.

La préparation des piluliers pose également problème. Lorsque cela se fait au domicile du patient, il est difficile pour les IDEL de se concentrer, ne pas discuter avec le patient lors des visites est inconcevable. Et faire un pilulier tout en discutant, avec une charge de travail et une fatigue importantes, peut être source d’erreurs.

Cependant, même lorsque le patient est autonome ou est assisté par un aidant, le pilulier reste un problème. En effet, en l’ouvrant il n’est pas rare que les médicaments se déplacent d’une case à l’autre. Si le pilulier tombe et qu’il faut remettre les médicaments, cela peut être fait de manière erronée, car les patients ne connaissent pas forcément l’apparence de leurs comprimés de façon précise. Ces erreurs peuvent avoir des conséquences sur l’efficacité du traitement, et donc sur la santé des patients.

MonOrdo facilite la vie des infirmières…et des patients !

Alors que Julie préparait les piluliers de ses patients, un de ses collègues est venu lui parler de MonOrdo. “Il m’a dit qu’il avait tout passé sur MonOrdo, et ne faisait plus de périodes de piluliers. En plus il y a une sécurité du médicament”.

Et Julie confirme: “Je trouve que ça sécurise le parcours du médicament. Dans le sens où le pharmacien prépare le médicament, tout est identifié sur le sachet : le jour, le nombre de médicaments qu’il y a dedans. Si le patient a ouvert et que des médicaments sont tombés, on va vite le savoir parce qu'il n'y a pas le (bon) nombre.”

En effet, avec MonOrdo, les infirmières (ou les patients) se font livrer à domicile les médicaments triés par prise sous forme de sachets individuels. Le système est inspiré des PDA (Préparation des Doses Administrées) effectuées dans les EHPAD.
Sur chaque sachet est indiqué le jour de prise, le moment de prise (avec des pictogrammes pour que ce soit très facile à comprendre pour tous), le nom de chaque médicament, le nombre de comprimés ainsi que leurs formes. C’est pratique et cela ne prend que peu de place. Cette solution facilite grandement l’observance du traitement et simplifie la vie des IDEL, et aussi de leurs patients. Comme toute infirmière, Julie pense avant tout à ses patients “Plus que le gain de temps, c’est le fait que ça soit sécurisé qui me plaît avec MonOrdo”.

Il n’y a en effet plus de risque de se tromper ! Le traitement est préparé par le pharmacien, professionnel du médicament, et à tête reposée.

La vérification du traitement se fait en 3 temps :

• lors de la numérisation de l’ordonnance;

• au moment où le pharmacien lance le logiciel qui produit le sachet;

• enfin il y a une vérification visuelle des sachets par le pharmacien.

Le pharmacien est donc le seul responsable des médicaments.

Et il n’y a plus de risque de tomber en rupture, Monordo permet d’assurer la continuité du traitement, et d’anticiper les besoins. Il est même possible de faire des prévisions en cas de déplacement.

Sachant que la préparation d’un pilulier demande environ 15 min chaque semaine à une IDEL et qu’elles en font généralement une dizaine chaque semaine, le gain de temps apporté par MonOrdo est non négligeable !

Julie confirme “Le pilulier il est déjà fait, on vérifie avec eux (les patients, on prend la tension, on discute…le temps est le même, mais il est investi différemment”.

Les infirmières libérales ont également une application mobile qui leur permet de gérer toute la logistique du médicament de leurs patients d’un simple clic. Commandes, livraisons, renouvellements, et service client, depuis leur smartphone elles ont accès rapide à toutes les informations des patients.

Autre avantage observé par Julie, opter pour Monordo facilite le passage de relais entre infirmiers. “[...]c'est ce que je trouve le plus intelligent, si jamais on a un pépin, on est hospitalisée ou on a un accident de voiture, et que quelqu’un doit prendre le relais dans l’immédiat, il n ‘y a pas de question sur ce qu’il faut donner au patient.Je trouve que c’est le plus important car les remplaçant font ce qu’ils peuvent mais ils n’ont pas notre connaissance des patients.”

Il faut y penser, car cela n’arrive malheureusement pas qu’aux autres !

Le gain de temps et l’allègement de la charge mentale apportés par MonOrdo vous permet ainsi de dégager du temps pour ce qui compte vraiment : les soins et la relation avec vos patients!

Le service MonOrdo accompagne déjà de nombreuses infirmières libérales dans 8 grandes villes françaises : Toulouse, Bordeaux, Montpellier, Marseille, Paris, Lyon, Strasbourg et Grenoble, et bientôt d’autres suivront !

******

Le coup d’envoi du marathon budgétaire a été lancé lundi avec la présentation en Conseil des ministres du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2023. Parmi les nouveautés, le gouvernement inaugure un système punitif inédit pour lutter contre les fraudes. On vous dit tout !

Les infirmiers libéraux (IDEL), comme tout professionnel de santé en exercice libéral, doivent facturer eux-mêmes les soins effectués et les télétransmettre à l’Assurance Maladie. Pour cela, ils doivent se référer à un document appelé Nomenclature Générale des Actes Professionnels (NGAP). Une nomenclature qui se révèle complexe à interpréter et pas tout à fait adaptée aux réalités du terrain. De nombreux IDEL font donc des erreurs de cotations, qui peuvent avoir de lourdes conséquences !

Pourquoi tant d’IDEL ne savent pas coter les soins ? Quel est le risque de se tromper de cotations ? Nous répondons à toutes vos questions !

La NGAP : un vrai casse-tête pour les infirmières libérales

De nombreux infirmiers libéraux ne cotent pas correctement leurs actes, c’est un fait. Et cela n’est pas anodin, puisque c’est la cotation qui sert à déterminer la rémunération de l’IDEL. Pourtant essentielle, la cotation n’est pas enseignée de manière approfondie dans les IFSI (Instituts de Formation en Soins Infirmiers).

En théorie cela peut sembler simple, il suffit de lire la nomenclature et de l’appliquer pour facturer sans erreur. Or, en pratique, c’est beaucoup plus complexe.

D’une part, il existe de nombreuses exceptions. D’autre part, la cotation dépend également de la prescription faite par le médecin. Et si l’on ajoute que certains soins assez courants ne figurent pas dans la NGAP, on comprend tout de suite pourquoi tant de professionnels se trompent dans la facturation !

Dans la plupart des cas, lorsqu’ils débutent, les infirmiers libéraux ne prennent pas le temps de lire la nomenclature des actes et de la comprendre. Ils ont tendance à se fier à ce qui se pratique dans leur cabinet ou dans le cabinet voisin. Or, c’est une erreur. Effectivement beaucoup d’IDEL ne savent pas coter correctement et ne sont pas non plus à jour vis-à-vis de la NGAP. De plus, chaque infirmier est responsable personnellement de sa cotation, même s’il a été induit en erreur par un collègue.

Cela signifie que si une erreur est commise (volontairement ou en toute bonne foi), la Caisse d’Assurance Maladie est en droit de réclamer son dû.

Cependant, même avec la meilleure volonté du monde et en ayant pris le temps d’éplucher la NGAP, le risque 0 n’existe pas ! En effet, pour les soins qui ne sont pas répertoriés dans la NGAP, les professionnels de santé n’ont d’autre choix que de s’adapter et détourner pour pouvoir facturer.

Bien sûr, il existe des sessions de formation continue spécifiques à la cotation des soins infirmiers, mais les IDEL ont généralement d’autres priorités de formation. De plus, perdre du temps à se former sur un outil qui sera caduc l’année suivante a de quoi décourager.

Des sources d’information pas toujours fiables

Devant la complexité de la NGAP et de son interprétation, il est tentant de s’en remettre aux personnes plus expérimentées et qui ont plusieurs années d’exercice libéral derrière elles. Les sources pour s’informer sont nombreuses, mais attention à leur fiabilité ! Qu’il s’agisse de groupes d’entraides, de forums ou encore de collègues, les informations recueillies ne sont pas toujours fiables.

En effet, la NGAP a évolué ces dernières années, par conséquent, les IDEL expérimentés peuvent ne pas être à jour sur les cotations. En outre, la cotation des soins relève d’une interprétation de la NGAP, par conséquent, il est difficile d’obtenir une réponse sûre à 100%. En posant la question sur un groupe, vous avez toutes les chances d’obtenir des réponses différentes, et vous ne serez pas plus avancé.

Le mieux est de vous former sérieusement à l’interprétation de la NGAP et de tenir vos connaissances à jour.

Si un cas spécifique vous pose problème, vous avez la possibilité de poser directement la question de la cotation au médecin-conseil de la CPAM. Vous obtiendrez une réponse relativement rapide. Les questions spécifiques posées au médecin-conseil peuvent déboucher sur une évolution de la nomenclature. Il ne faut donc pas hésiter à se renseigner si un cas particulier vous pose problème.

Fort heureusement, le droit à l'erreur existe concernant la cotation des soins. Ainsi, si vous vous apercevez que vous avez fait une erreur dans votre facturation, le mieux est de prendre les devants et de signaler l’erreur à la CPAM afin de rectifier le plus vite possible.

Des erreurs fréquentes et qui peuvent coûter cher !

Les erreurs de cotation des soins sont fréquentes, et ce sont les principales causes de rejets et d’impayés pour les infirmiers libéraux. Les pansements, les perfusions, et la préparation de pilulier font partie des actes infirmiers difficiles voire impossibles à coter.

Les majorations (nuit, week-end) et les indemnités kilométriques font également partie des sources d’erreur fréquentes.

Le problème, c’est qu’une mauvaise cotation peut engendrer une rémunération trop faible. Cela peut également aboutir à une perte de temps, car il faudra par exemple demander une nouvelle prescription médicale si la précédente ne correspond pas au soin effectué.

Une mauvaise cotation peut aussi vous coûter de l’argent car la CPAM la considérera comme indue, et vous devrez rembourser la somme perçue.

Mais ça ne s'arrête pas là !

Les erreurs de cotation peuvent vous créer de sérieux problèmes. En effet, la CPAM procède à des contrôles afin de détecter d’éventuelles fraudes. Et la mauvaise interprétation de la NGAP peut vous mettre en position de frauder de façon involontaire.

Lors des contrôles, la CPAM est susceptible de réclamer le paiement d’indus pouvant remonter aux 3 dernières années. Des pénalités de retard peuvent également être appliquées. La facture peut donc vite atteindre plusieurs milliers d’euros, une note salée pour un infirmier libéral. Dans certains cas, l’affaire est même portée aux tribunaux avec le risque d’être suspendu ou déconventionné.

Nous vous conseillons donc de redoubler de vigilance lorsque vous facturez les soins effectués !

Simplifiez-vous la vie avec MonOrdo

Plus besoin de passer du temps à remplir les piluliers de vos patients grâce à MonOrdo ! Ils reçoivent leurs médicaments déjà triés, ainsi vous gagnez du temps ! Et vous pouvez à tout moment consulter leur parcours de soin sur votre smartphone. Pratique !

******

Pour optimiser leur gestion, plusieurs centres médicaux ont de plus en plus recours à l’utilisation des logiciels médicaux. Ces outils facilitent certaines tâches et permettent d’éviter des erreurs médicales. De la facturation médicale à la planification des patients, les logiciels médicaux sont multiples et s’adaptent aux besoins des hôpitaux. Qu’il s’agisse d’un grand système hospitalier ou d’une petite clinique spécialisée, ils permettent une meilleure organisation des soins de santé. Cependant, pour profiter de ces nombreux avantages, il urge de choisir les meilleurs logiciels disponibles sur le marché. Voici donc quelques-uns à privilégier.

HelloDoc

Pour les centres et maisons de santé, HelloDoc s’apparente comme le meilleur logiciel de santé pour gérer efficacement la planification des clients. Ce logiciel offre une solution commune à toutes les structures et s’adapte à chaque spécialité et rôle. Il convient ainsi aux médecins. Le partage et la coordination des données médicales sont plus faciles à gérer avec HelloDoc.

De même, HelloDoc msp en ligne est conforme à la réglementation en vigueur et est labellisé e-santé V2. Le logiciel compte déjà plus de 4 000 médecins qui ne cessent de profiter de ses fonctionnalités pour optimiser la gestion de leur centre de santé. Entre autres, HelloDoc offre un traitement de texte performant, une mise à disposition de l’historique des remboursements et une intégration des attestations des arrêts de travail. Il offre également un suivi automatisé des règlements.

Infimax

Infimax s’apparente comme un logiciel parfait pour tout infirmier. Comme les autres outils, il est doté de fonctionnalités très utiles, bien pensées et ergonomiques. Entre autres, il facilite la gestion des agendas, le partage de données, offre une aide à la comptabilité et permet la télétransmission.

Simply Vitale

Simply vitale est un logiciel pour infirmière qui propose une solution tout-en-un. Avec ce logiciel, tout infirmier peut partager des données avec des associées, numériser les ordonnances, planifier les tournées et établir des factures. Son utilisation nécessitera simplement une connexion internet. En cas de difficultés ou de questions, il est possible de joindre l’assistance téléphonique du logiciel.

En outre, cet outil est parfait dans le cadre de l’amélioration du suivi patient. Il permet en effet de renseigner plusieurs informations comme les surveillances effectuées, les différentes mesures et les constantes. D’autre part, Simply vitale intègre une fonctionnalité BSI qui permet l’amélioration de la prise en charge des patients. Ajouté à cela, il intègre une option Simply tools qui permet d’obtenir des informations sur un médicament, d’analyser le sang d’un patient et d’effectuer un grand nombre de calculs.

Agathe You

Agathe You est un logiciel de télétransmission pour infirmière. Il a été créé par le groupe CBA en collaboration avec de nombreux infirmiers. Il présente l’avantage d’être sur mesure et évolutif. Très facile à utiliser, il offre également une prise en main facile et rapide. Entre autres, Agathe You permet de faire des cotations préenregistrées, d’organiser les tournées, de gérer les remplacements et de faire une télétransmission. Il couvre tous les besoins des infirmiers.  De plus, en téléchargeant l’application mobile, cela peut transformer un téléphone en un véritable bureau portatif.

Vega

Très compatible avec la majorité des versions Windows, Vega est l’un des meilleurs logiciels utiles pour les infirmiers. Installé en réseau ou en monoposte, il peut être utilisé sur des tablettes. Il peut également s’adapter à toutes les catégories et tailles d’établissement. Fiabilité et convivialité caractérisent le logiciel Vega. Il fonctionne avec plusieurs systèmes périphériques et offre une panoplie de fonctionnalité.

Entre autres, il sert à scanner les documents, partager des informations entre collègues, planifier des soins infirmiers et organiser des tournées. D’autre part, l’option comptabilité qu’intègre cet outil permet de générer les recettes avec les avis de paiement complémentaires et des caisses. Il sert en outre à planifier des séances, photographier les ordonnances et enregistrer les traitements. Cependant, pour mieux comprendre son fonctionnement, il est recommandé de suivre une formation avec des formateurs spécialisés.

Albus

Pour faciliter la gestion du quotidien des infirmiers, Albus offre diverses fonctionnalités. Avec cet outil, il devient plus facile de sauvegarder et de synchroniser les données, de gérer et consulter les dossiers des patients, d’effectuer des télétransmissions et d’éditer des factures. Ce logiciel ergonomique permet de gagner énormément du temps.

Albus permet l’envoi automatique de message de rappel aux patients la veille des rendez-vous. Il donne aussi accès à un service de mise en relation pour trouver une remplaçante en cas d’urgence. D’autre part, le logiciel offre la possibilité de souscrire une option de coaching parfait pour les débutants.

Comment choisir un logiciel médical ?

Au vu des multiples logiciels médicaux pour infirmiers qui existent, il peut être difficile de faire le bon choix. Pour cela, il est important de baser son choix sur certains critères.

Les fonctionnalités

De prime abord, il faut analyser les fonctionnalités qu’intègre un logiciel médical avant de le choisir. Un logiciel fiable doit être certifié par la Haute Autorité de la Santé. Il doit convenir également à la profession ou à la spécialité et être compatible avec le système informatique. De même, un bon logiciel médical doit être intuitif et ergonomique.

Les opérations quotidiennes

L’un des objectifs des logiciels médicaux est de permettre aux infirmiers de concentrer davantage plus de temps sur les soins aux patients et moins de temps sur la gestion des documents. Qu’il s’agisse de la gestion des équipements utilisés ou des rendez-vous des patients, ces outils peuvent gérer efficacement ces tâches. De ce fait, le logiciel choisi doit permettre une planification intelligente, la gestion des courriers et la gestion comptable.

Le portail client

Pour optimiser la gestion des dossiers des patients, un logiciel médical doit offrir une interface de consultation et une aide à la prescription. Ces fonctionnalités permettent de s’assurer que les infirmiers donnent de bonnes prescriptions.