Actualités pour les infirmières libérales

Retrouvez sur cet espace les actualités dénichées sur le web et concernant la profession d'infirmier(e) libérale. Nous remercions les sites d'origine pour leurs articles.

Vaccination Covid : Les IDEL à la rescousse pour accélérer la cadence !

Thursday 4 March 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Gagner la course contre les variants est aujourd’hui le défi à relever pour sortir de cette pandémie. Avec l’arrivée de l’Astra Zeneca, dans son dernier avis, la Haute Autorité de Santé recommande de faire appel aux infirmiers pour passer à la vitesse supérieure.

La stratégie vaccinale va connaître un nouveau tournant avec l’arrivée massive de vaccins dans les circuits d’approvisionnement. C’est en effet les difficultés d’approvisionnement qui aujourd’hui ont présidé à la hiérarchisation des modalités de vaccination.

Il est cependant utile de rappeler que les IDEL se sont largement emparées du sujet de la vaccination contre la Covid au travers des centres de vaccination qui tournent aujourd’hui essentiellement avec le tissu libéral des infirmiers.

Devant cet afflux de doses à injecter, (en 2 mois le volume livré va presque quintupler) comment absorber l’approvisionnement et éviter que des vaccins ne dorment dans les frigos des pharmacies ?

Sur la base d’études validées, la HAS recommande donc d’élargir les priorisations et de diversifier les professions susceptibles de vacciner en autonomie. Les difficultés rencontrées par les médecins libéraux qui, seuls jusqu’ici, étaient autorisés à vacciner dans leur cabinet ne sont sans doute pas étrangères à l’accélération du mouvement. Les coups de gueule des pharmaciens gestionnaires des stocks en ville non plus…

Le scénario était écrit d’avance, la complexité et les contraintes liées à la conservation des vaccins ARN et les modalités de permanence des médecins généralistes n’allaient pas favoriser une large mobilisation chez ces derniers.

Les IDEL au même titre que les médecins, les pharmaciens et les sages-femmes) vont être très prochainement autorisés à vacciner sans prescription les patients sans comorbidités. Ces professions libérales (140 000 infirmiers, 50 000 généralistes, 21 000 officines) devront écouler les plus de 4 millions de doses livrées par semaine en avril.

Un rapide calcul, sur la force de frappe des IDEL, en partant du principe que 70 000 IDEL sont quotidiennement au chevet des patients, notre profession en capacité d’absorber la réalisation de plus de 2 millions de vaccins /semaine.

Mais avant toute chose, VACCINEZ-VOUS dès que possible, nous serons plus cohérents dans nos revendications légitimes quand nous aurons atteint les taux de vaccination des médecins et des pharmaciens.

Source : www.fni.fr

Covid-19 : les pharmaciens, infirmiers et sages-femmes autorisés à vacciner

Wednesday 3 March 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Les pharmaciens, infirmiers et sages-femmes vont désormais pouvoir vacciner des patients contre le Covid-19, et ce, avec tous les vaccins. La Haute Autorité de santé recommande de mobiliser ces professionnels pour accélérer la campagne de vaccination.

Les pharmaciens, infirmiers et sages-femmes ont été autorisés à vacciner contre le Covid-19, rapporte France 2, mardi 2 mars. Les pharmaciens se disent volontaires pour prêter main-forte aux médecins. Dans leur officine, certains disposent déjà d'un lieu dédié à la vaccination et de réfrigérateurs qui stockent d'autres médicaments. La question du planning reste encore à aborder. "Est-ce qu'on fait des demi-journées de vaccination et des demi-journées de tests antigéniques ? On ne pourra pas tout faire sur la même journée", alerte Patrick Sitbon, pharmacien.

Pour les personnes à risque de 50 à 74 ans

Les infirmiers et les sages-femmes pourront eux aussi vacciner. Dans un premier temps, ils administreront le vaccin AstraZeneca aux personnes à risque âgées de 50 à 74 ans. En théorie, ces professionnels pourront bien prescrire ces vaccins, mais la Haute Autorité de santé recommande de d'abord passer par son médecin. Aujourd'hui, la plupart des injections ont lieu dans les centres de vaccination et chez les généralistes.

Source : www.francetvinfo.fr

Formation en médecine ayurvédique : quel est le parcours à suivre ?

Thursday 25 February 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : articles divers santé

Les médecines du monde proposent des méthodes différentes pour aider les personnes en difficulté. Certaines d’entre elles, comme la médecine ayurvédique, proposent des soins qui vont au-delà de ceux que nous connaissons dans la médecine conventionnelle, mais ont pour but principal le bien-être et le mieux-être. La médecine ayurvédique peut être exercée aussi bien par les particuliers que par les professionnels de la santé comme les médecins et les infirmiers. Découvrons ici le parcours à suivre pour se former en médecine ayurvédique.

Qu’est-ce que la médecine ayurvédique ?


La médecine ayurvédique tire son origine de l’Inde. C’est un système de soin développé il y a des centaines d’années et qui propose de diagnostiquer les déséquilibres dans le corps et l’esprit. C’est une médecine très efficace comme vous le montre ce
site spécialisé en ayurvéda. Son but est donc de remédier à ces déséquilibres et d’apporter une harmonie entre le corps et l’esprit à travers des techniques proches du yoga, mais aussi des massages et une hygiène de vie meilleure pour la santé.




 

Pourquoi se former en ayurvéda ?

Une formation en ayurvéda permet d’acquérir des connaissances pour une vie harmonieuse, un équilibre entre sa santé mentale et sa santé corporelle. C’est donc un chemin vers la connaissance du soi profond où le pèlerin se connait pleinement. Ce dernier, en posture donc d’infirmier, peut parfaitement transmettre ses connaissances et aider ainsi ses patients à recouvrer leur santé.

Le parcours pour devenir médecin en ayurvéda

La médecine ayurvédique n’est pas légalement reconnue en France. Mais tout le monde ne peut se prévaloir d’être spécialiste de cette discipline. Pour les professionnels de la santé qui désirent approfondir et varier leurs connaissances en médecine ayurvédique, il leur est possible, comme à tout particulier d’ailleurs, de suivre une formation en ayurvéda.

À l’issue de cette formation, ils sortiront avec un Bachelor of Aurvedic Medicine and Surgery. Il leur est cependant aussi possible de suivre une formation en France, dans des écoles ou des centres qui proposent des formations en ayurvéda. Selon la formation suivie, ils pourront exercer comme professeurs de yoga spécialisé en ayurvéda, comme éducateurs de santé selon l’ayurvéda ou encore comme thérapeutes corporels en soins ayurvédiques.

Chacune de ses options représente une facette de l’ayurvéda et nécessite une durée donnée de formation à respecter. Les formations se font sur une période d’un à trois ans avec des sessions et d’autres possibilités. Elles permettent ensuite de s’installer et d’exercer comme un professionnel de la médecine ayurvédique.

 

Auteur : Emmanuel Higel

Impôts sur le revenu : la voiture électrique enfin prise en compte dans le barème kilométrique

Tuesday 23 February 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Pour la première fois, les propriétaires d'un véhicule électrique disposent en 2021 d'un barème spécifique pour calculer le montant de l'indemnité kilométrique accordée dans le cadre de l'imposition sur le revenu. L'arrêté officiel paru ce mois-ci prévoit en effet une majoration de 20 % réservée aux voitures non-thermiques. L'objectif est d'encourager la transition vers ce type d'automobile.

Les autorités fiscales ont accédé aux demandes des propriétaires de véhicules électriques qui déploraient l'absence de prise en compte des spécificités de leur voiture dans le calcul des indemnités kilométriques. Dans l'arrêté du 15 février publié quatre jours plus tard dans le Journal Officiel, les indemnités kilométriques des modèles électriques disponibles dans le cadre de l'impôt sur le revenu font pour la première fois l'objet d'un traitement spécifique.

Un investissement initial supérieur

Jusqu'ici, le « barème forfaitaire permettant l'évaluation des frais de déplacement relatifs à l'utilisation d'un véhicule par les bénéficiaires de traitements et salaires optant pour le régime des frais réels déductibles » ne proposait aucune distinction entre les voitures thermiques et électriques. Les propriétaires de ces dernières avaient pourtant dépensé une somme plus importante au moment de l'achat de leur véhicule.

Dans la version 2021 des modalités de calcul des indemnités kilométriques, le gouvernement a appliqué une majoration de 20 % aux compensations financières accordées aux conducteurs de modèles électriques. Comme c'était le cas les autres années et pour les voitures à moteur à essence, le montant dépend de la puissance administrative développée par la voiture, du nombre de kilomètres parcourus et de la tranche dans laquelle s'inscrit cette distance cumulée.

Un changement réservé aux modèles électriques

Le barème concernant les véhicules thermiques est quant à lui demeuré inchangé par rapport à l'édition précédente, note le site spécialisé Flottes Automobiles. Les modifications instaurées pour les modèles électriques « s'applique[nt] à compter de l'imposition des revenus de l'année 2020 », précise l'arrêté. Celui-ci a été rédigé par le ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance et le ministre délégué auprès du ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance, chargé des comptes publics.

La décision de l'Etat de proposer un barème spécifique aux modèles électriques est intervenue après que la Convention citoyenne pour le climat a suggéré des mesures fiscales incitant à l'achat et à l'utilisation de voitures de ce type. A terme, « un barème unique, indépendant de la puissance fiscale des véhicules », pourrait être adopté, a également fait savoir le ministère de la transition écologique.   

Source : www.boursorama.com

Auteur : Newsgene