PETITION pour déffendre notre profession en danger par la CPAM
Monday 10 September 2012 par brigitte bibi13
A Lire et signer de toute urgence !
Retrouvez sur cet espace les actualités dénichées sur le web et concernant la profession d'infirmier(e) libérale. Nous remercions les sites d'origine pour leurs articles.
Monday 10 September 2012 par brigitte bibi13
A Lire et signer de toute urgence !
Thursday 6 September 2012 par brigitte bibi13
À l’occasion de la publication du livre blanc de la Fédération nationale des infirmiers (FNI), la profession revendique une place accrue, incontournable, dans le système de santé français.
Baptisé « Horizon 2030, vision pour les soins infirmiers ambulatoires », l’ouvrage prospectif propose un état des lieux de la démographie et de l’organisation de notre système de santé et des pistes d’amélioration. « Le but de ce livre blanc est de démontrer en quoi les infirmiers libéraux font partie intégrante de la réponse à apporter aux besoins futurs de la population en matière d’accès aux soins », estime Philippe Tisserand, président de la FNI. Florilège des principales propositions de la FNI.
• Des infirmiers référents, pas des métiers intermédiaires
En coût global, la médecine libérale revient 60 % moins cher qu’une hospitalisation de jour et 40 % moins cher qu’une hospitalisation à domicile (HAD), assure la Fédération. Partant, les 70 000 infirmiers libéraux sont « un vrai levier, une réelle source de compétences » à utiliser, indique Philippe Tisserand. Plutôt que la création de nouveaux métiers intermédiaires « dont on ne connaît ni la pertinence ni les contours », le président de la FNI entend valoriser le couple libéral médecin-infirmier. Pour lui donner plus de poids, la FNI souhaite voir inscrit dans la loi le concept d’« infirmier référent », apposé à celui de médecin traitant.
• Développer la « consultation infirmier »
Selon Philippe Tisserand, les infirmiers libéraux seront « les derniers professionnels de santé à se rendre au domicile des patients en 2030 ». D’après les études, ils seraient à cette date entre 120 000 et 130 000, soit « un nombre suffisant harmonieusement répartis sur le territoire ». « Plutôt que de réfléchir à comment mettre à disposition les infirmiers auprès des médecins, analysons le contenu d’une consultation médicale », suggère Philippe Tisserrand. Exemple : les infirmiers, aptes à effectuer « un tri » via leur bilan clinique préconsultation, aimeraient obtenir plus de marges de manœuvre sur les adaptations des traitements médicamenteux. « Pas besoin d’élargir nos compétences pour cela, nous le faisons déjà avec l’insuline des diabétiques », argumente le président de la Fédération.
• PDS, urgences : faciliter le recours à l’infirmier
Pour les patients, « le cabinet d’infirmiers libéraux est souvent le seul endroit où la lumière est allumée sept jours sur sept », indique la FNI. Constatant que « les médecins impliqués dans la permanence des soins sont débordés et les volontaires se font rares », Philippe Tisserand propose de développer une collaboration avec les infirmières dans les territoires. « Il serait également intéressant de tirer des enseignements des modèles étrangers dans lesquels les infirmières sont mobilisées pour effectuer un premier tri des urgences », conclut la FNI
Source : www.lequotidiendumedecin.fr
Thursday 23 August 2012 par brigitte bibi13
CARREFOUR PARAMEDICAL NEPHROLOGIE ÎLE DE FRANCE
Le Réseau Rénif (réseau de néphrologie d’Ile-de-France) organise une journée
de formation gratuite pour les infirmiers libéraux et les diététiciens
d’Ile-de-France.
Au programme des conférences et ateliers pratiques : syndrome métabolique et
maladies rénales chroniques, actualités en néphrologie et données
épidémiologiques sur l'IRC, lithiases, diabète et IRC traitements et auto
surveillance etc…
Cette journée se déroulera le 24 janvier 2013 au FIAP Jean Monnet 30 rue
Cabanis 75014 Paris.
Inscription obligatoire à Rénif 3-5 rue de Metz 75010 Paris – Tel : 01 48 01
93 00 ou contact@renif.fr
(Envoi du programme détaillé sur demande).
Wednesday 1 August 2012 par brigitte bibi13
Les Etats Généraux du Rein
La prise en charge et l’accompagnement des personnes concernées par l’insuffisance rénale peut et doit être améliorée. L’association de patients Renaloo initie en 2012 les Etats Généraux du Rein (EGR), qui réunissent tous les acteurs impliqués, patients, soignants, établissements, institutions…
L’objectif est de présenter aux pouvoirs publics, à l’horizon juin 2013, un état des lieux et des propositions consensuelles, qui permettront à la fois d’élever la qualité des soins et d’en abaisser les coûts. A la clé : l’espoir d’un « plan rein » ou d’un rapport transversal assorti de mesures concrètes, destinées à améliorer les pratiques et le quotidien des malades.
Les EGR constituent une démarche novatrice et inédite : ils partent de « la base », ils sont portés par les patients, mais fédèrent toutes les parties prenantes. L’ensemble des acteurs impliqués dans l’insuffisance rénale se sont d’ores et déjà engagés dans la démarche : professionnels de santé de toutes catégories, sociétés savantes et associations professionnelles, intervenants de l’environnement du soin, institutions (ministères, agences sanitaires…), fédérations hospitalières, experts en santé publique et économie de la santé, industriels et, bien entendu, les patients, leurs proches et leurs associations.
Les EGR en pratique
Le dispositif s’appuie sur un comité de pilotage et sur un comité scientifique, présidé par le Pr Jean-Pierre Grünfeld, néphrologue et membre de l’Académie des sciences, qui a notamment été en charge du deuxième plan cancer.
Il s’articule autour de cinq grandes étapes :
Les Etats Généraux des patients et des proches (avril à décembre 2012) : une plateforme web et une enquête de terrain, instruments de mobilisation des personnes les plus directement concernés, pour que celles et ceux qui le souhaitent puissent s’exprimer et être entendus.
Les cahiers de propositions (février à mai 2012) : toutes les parties prenantes sont sollicitées pour contribuer aux EGR en transmettant leurs constats et des propositions d’amélioration.
Le séminaire de restitution des cahiers de propositions (15 juin 2012) : Les parties prenantes se réunissent pour débattre des contenus des cahiers et arrêter une liste de thématiques essentielles.
Les tables rondes du Rein (septembre 2012 à mars 2013) : une série de tables rondes d’une journée, à raison de deux par mois environ, pour traiter le plus complètement possible chacune des thématiques.
Le colloque de restitution des EGR (juin 2013)
L'appel à candidatures pour participer aux Tables Rondes du Rein est ouvert. Inscrivez-vous sur www.etatsgénérauxdurein.fr ! Le calendrier des tables rondes :
21/09/12 : Prévention, dépistage, diagnostic et prise en charge précoce
19/10/12 : Greffe, mise en route des traitements, suivi et transferts
16/11/12 : Lutter contre la pénurie d'organes (donneurs vivants et décédés)
30/11/12 : Dispositif d'annonces, d'informations et d'orientation, autonomie et parcours de vie
11/01/13 : Dialyses - mise en route des traitements, suivi et transferts
25/01/13 : Organisation de la dialyse
8/02/13 : Grandir et se construire avec
22/02/13 : Bientraitance
8/03/13 : Vivre avec
22/03/13 : Vieillir avec, fin de vie
Pour en savoir plus_: www.etatsgenerauxdurein.fr ou www.renaloo.com
Marianne Le Tallec,
Source : www.etatsgenerauxdurein.fr
Thursday 12 July 2012 par brigitte bibi13
L’Accord cadre interprofessionnel (Acip), qui vise à rénover les rapports conventionnels entre une douzaine de professions libérales et les organismes d’assurance maladie, vient d’être signé par l’ensemble des syndicats majoritaires. Au cœur de l’Acip : la coordination des soins.
Après quatre ans de travail, l’Accord cadre interprofessionnel (Acip), concernant douze professions de santé libérales*, vient d’être signé par l’ensemble des syndicats majoritaires. Négocié entre l’Union national des professionnels de santé (UNPS) et l’assurance maladie, l’accord porte sur trois points principaux. « Le premier point déterminant de cet accord repose sur la coordination des soins et sa définition car, actuellement, tout se mélange entre délégations de tsâches et transferts de tâches, souligne Alain Bergeau, président de l’UNPS. Cet accord est un premier pas fondamental car il va permettre la mise en œuvre d’expérimentations dans un cadre conventionnel. » Les expérimentations devraient porter sur la sortie précoce de l’hôpital, la prise en charge des pathologies chroniques et la dépendance. Des domaines dans lesquels les infirmières libérales ont « un rôle fondamental » à jouer, selon Alain Bergeau. La coordination se déroulera en deux temps. Tout d’abord, une synthèse médicale faite par le médecin traitant, qui définit l’orientation et le rythme des interventions. Puis le temps de coordination, mené par le professionnel « qui a le plus de contact avec le patient ».
Deuxième point : la simplification administrative entre les professionnels de santé et l’assurance maladie. « L’objectif est d’aboutir à une dématérialisation des ordonnances pour dégager du temps médical aux professionnels de santé », rapporte le président de l’UNPS. Un comité technique interprofessionnel de modernisation des échanges va être créé dans le but de proposer un programme et un calendrier.
Enfin, le dernier point concerne la négociation des avantages sociaux. Il est prévu que, si les professionnels respectent les tarifs conventionnels, les caisses s’engagent à négocier, dans le cadre des conventions nationales et avant le 31 décembre 2012, leur participation aux financements des cotisations dues au titre des revenus d’activités non salariées réalisées dans des structures dont le financement inclut la rémunération des professionnels (hospitalisation à domicile, maison de retraite).
L’Unocam s’est « retirée des discussions »
L’Union nationale des organismes d’assurance maladie complémentaires (Unocam) ne signera pas l’Acip, notamment parce qu’elle n’a pas pu participer pleinement aux négociations. « En réaction aux différentes décisions publiques qui ont pu être prises à l’encontre des organismes complémentaires d’assurance maladie, contestant leur rôle et leurs missions, l’Unocam s’est en effet retirée des discussions », rapporte-t-elle dans un avis. Elle dénonce aussi un problème majeur de méthode de travail avec l’assurance maladie obligatoire. De plus, « en l’absence de visibilité sur les conséquences que pourront avoir les principes et engagements pris dans cet accord cadre, l’Unocam n’est pas en mesure d’y adhérer ». Elle affirme cependant souhaiter vivement que l’Acip permette de réduire les cloisonnements entre professions de santé libérales. Elle fonde beaucoup d’espoirs sur la mise en place d’expérimentations, portant notamment sur les sorties d'hospitalisation et la prise en charge de la dépendance à domicile, et souhaite également que les échanges avec les professionnels de santé soient modernisés et simplifiés.
Du côté des représentants, sur les 24 syndicats concernés, 18 ont signé l’accord, et parmi eux, tous les syndicats d’infirmiers libéraux. Maintenant, « il va falloir faire vivre cet accord en mettant en place des avenants et des expérimentations régionales », conclut Alain Bergeau.
Source : www.espaceinfirmier.com